Mardi 27 Février 2024
Ski, snowboard... comment bien choisir un casque pour les sports d'hiver ?
Aux sports d'hiver, un quart des blessures à la tête se produisent lors de collisions. L'utilité d'un casque pour pratiquer les sports de glisse sur neige, plus que clairement illustré par l'évolution du taux d'équipement des enfants, n'est plus à démontrer. Il ne reste donc plus qu'à choisir le casque !
Choix d'un casque pour les sports d'hiver : quelques points à garder en tête
En matière de sports d'hiver, le taux du port du casque est en progression mais il reste insuffisant notamment chez les adultes et les adolescents. Aujourd'hui, 95 % des enfants portent le casque de protection contre 15 % en 1995, selon l'association des Médecins de montagne. Le taux d'équipement chez les plus jeunes a donc fait d'énormes progrès, mais des efforts restent à faire chez les adolescents (85 %) et les adultes (62%).
La composition du casque
Le casque est constitué de trois couches :
Un casque de ski protège également contre le froid, le vent et la neige. De plus, des entrées d'air réglables permettent de maintenir une température interne optimale et permettent à la transpiration de s'évacuer.
La norme et la signalisation : les impératifs pour les casques
Un casque destiné aux sports d'hiver doit comporter la norme NF (ou CE) EN 1077, spécifique aux casques de ski et de snowboard. La calotte doit également mentionner de façon apparente la taille du casque, le marquage commercial, l'indication de sa masse en gramme et l'année ainsi que le mois de fabrication.
Les normes des casques destinés à la pratique de la luge sont différentes. Il s'agit de la norme NF (ou CE) EN 13484.
L'achat du casque pour les sports d'hiver : les points à vérifier
Avant d'acheter un casque, prenez le temps de l'essayer et vérifiez ces points :
Source : Assurance Prévention Choix d'un casque pour les sports d'hiver : quelques points à garder en tête
En matière de sports d'hiver, le taux du port du casque est en progression mais il reste insuffisant notamment chez les adultes et les adolescents. Aujourd'hui, 95 % des enfants portent le casque de protection contre 15 % en 1995, selon l'association des Médecins de montagne. Le taux d'équipement chez les plus jeunes a donc fait d'énormes progrès, mais des efforts restent à faire chez les adolescents (85 %) et les adultes (62%).
La composition du casque
Le casque est constitué de trois couches :
- la calotte : couche externe du casque.
- le rembourrage protecteur : couche en contact direct avec la calotte, permettant l'absorption de l'impact et la diffusion de l'énergie dans tout le casque.
- le rembourrage de confort : juxtaposé au crâne, il garantit le confort d'utilisation du casque. Il est souvent détachable et lavable, pour plus de confort.
Un casque de ski protège également contre le froid, le vent et la neige. De plus, des entrées d'air réglables permettent de maintenir une température interne optimale et permettent à la transpiration de s'évacuer.
La norme et la signalisation : les impératifs pour les casques
Un casque destiné aux sports d'hiver doit comporter la norme NF (ou CE) EN 1077, spécifique aux casques de ski et de snowboard. La calotte doit également mentionner de façon apparente la taille du casque, le marquage commercial, l'indication de sa masse en gramme et l'année ainsi que le mois de fabrication.
Les normes des casques destinés à la pratique de la luge sont différentes. Il s'agit de la norme NF (ou CE) EN 13484.
L'achat du casque pour les sports d'hiver : les points à vérifier
Avant d'acheter un casque, prenez le temps de l'essayer et vérifiez ces points :
- la taille du casque vous convient : le casque ne doit pas provoquer une sensation de compression ou de gêne au niveau des oreilles et de la mâchoire, mais doit rester en place lorsque la tête est en mouvement. Certains modèles proposent des coussinets réglables qui adaptent sa forme à celle de votre tête.
- l'arrière du casque n'est pas en contact avec vos cervicales lorsque vous avez la tête en arrière.
- lorsque vous portez votre casque, la sangle doit être constamment tendue mais elle doit se détacher facilement lorsque vous voulez retirer votre casque.
- la visière est solidement fixée à l'horizontale, ce qui est particulièrement utile en cas de choc frontal.
- le casque ne doit pas vous empêcher d'entendre ce qui se passe à l'extérieur.
Que faire lorsque son casque a pris un choc important ? Après un choc d'envergure, le casque devra être remplacé. Un seul choc suffit à fragiliser le casque et à le rendre inutilisable, même s'il ne comporte aucune fissure visible. |
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